Notre philosophie
L'orgue par Orgue Globale Solution
Communément appelé « le roi des instruments » l’orgue constitue à lui seul tout un orchestre et raisonne sur les mêmes fondements. Il produit toutes les gammes sonores avec puissance et finesse. Vibrant d’une palette infinie de nuances, sa présence magistrale confine au divin.
Chez Orgue globale Solution, nous œuvrons pour l’avenir de cet instrument mythique en fusionnant les savoir-faire hérités du passé aux progrès technologiques d’aujourd’hui. Pour chacun de nos clients, nous cultivons ainsi le goût de l’unique.
Découvrez ici notre histoire et nos valeurs.
Qui se cache derrière Orgue Globale Solution ?
Créée en 2013 par Patrick Jago, Orgue Globale Solution est une entreprise de père en fils
Tout a commencé pour Patrick JAGO, à l’adolescence, avec la rencontre de Frère ROGER, fondateur de la communauté de Taizé et de l’orgue hollandais qui était alors en résidence dans la nef principale. Sa fascination pour l’instrument donne naissance à une véritable vocation.
Très vite, Patrick JAGO s’inscrit à l’Ecole Nationale de Musique de Chalon sur Saône (devenue depuis Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Chalon). Il y bénéficie de l’enseignement de l’organiste concertiste Raffi Ourgandjian, offrant une approche nouvelle de l’instrument. Patrick JAGO monte ensuite à Paris pour rencontrer Jean Guillou, organiste titulaire de Saint Eustache. Il décide alors de consacrer sa vie à l’orgue et entreprend ses études de facteur d’orgue.
photographie © Guy Vivien
Le grand maitre Jean Guillou le présente à Detlef Kleuker (Bielefeld – Allemagne), le plus innovant facteur d’orgue de l’époque. De son apprentissage outre-rhin, Patrick acquiert un goût prononcé pour les technologies d’avant-garde et la rigueur germanique.
Au fil des années, son parcours s’enrichit de nouvelles rencontres opérant un rapprochement avec le monde de l’orgue numérique et ses principaux acteurs : Johannus, Viscount et Rodgers.
De ces échanges naissent plusieurs instruments numériques « à la Française » de référence, en France et à l’étranger.
Parallèlement, Alexandre, le fils de Patrick JAGO, fait ses gammes dans le métier. Bercé depuis son enfance dans la culture musicale familiale, il cultive le champ de connaissances et de savoir-faire hérité de son père, préludant à la pérennité d’Orgue Globale Solution pour les décennies à venir.
Tout a commencé pour Patrick JAGO, à l’adolescence, avec la rencontre de Frère ROGER, fondateur de la communauté de Taizé et de l’orgue hollandais qui était alors en résidence dans la nef principale. Sa fascination pour l’instrument donne naissance à une véritable vocation.
Très vite, Patrick JAGO s’inscrit à l’Ecole Nationale de Musique de Chalon sur Saône (devenue depuis Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Chalon). Il y bénéficie de l’enseignement de l’organiste concertiste Raffi Ourgandjian, offrant une approche nouvelle de l’instrument. Patrick JAGO monte ensuite à Paris pour rencontrer Jean Guillou, organiste titulaire de Saint Eustache. Il décide alors de consacrer sa vie à l’orgue et entreprend ses études de facteur d’orgue.
photographie © Guy Vivien
Le grand maitre Jean Guillou le présente à Detlef Kleuker (Bielefeld – Allemagne), le plus innovant facteur d’orgue de l’époque. De son apprentissage outre-rhin, Patrick acquiert un goût prononcé pour les technologies d’avant-garde et la rigueur germanique.
Au fil des années, son parcours s’enrichit de nouvelles rencontres opérant un rapprochement avec le monde de l’orgue numérique et ses principaux acteurs : Johannus, Viscount et Rodgers.
De ces échanges naissent plusieurs instruments numériques « à la Française » de référence, en France et à l’étranger.
Parallèlement, Alexandre, le fils de Patrick JAGO, fait ses gammes dans le métier. Bercé depuis son enfance dans la culture musicale familiale, il cultive le champ de connaissances et de savoir-faire hérité de son père, préludant à la pérennité d’Orgue Globale Solution pour les décennies à venir.
L'histoire de l'orgue, une passion
On s’accorde aujourd’hui à en attribuer l’origine à Ctésibios, ingénieur et mathématicien vivant à Alexandrie (270 avant JC). Ses travaux sur l’élasticité de l’air lui ont inspiré l’idée de faire sonner des tuyaux : le vent, obtenu par dépression d’air en évacuant l’eau d’une cuve, permet de produire un son amplifié par un simple tuyau. Certes, le premier hydraule (hydre, l’eau et aulos, le tuyau) ne dispose que de 3 tuyaux donc 3 sons, mais l’ancêtre de l’orgue, est né.
Au fil des siècles, l’instrument ne cesse d’évoluer, épousant les progrès technologiques, en suscitant de nouveaux. Parmi les grands facteurs d’orgue qui ont marqué l’évolution de l’orgue, citons Dom Bedos de Celle (1709-1779) et Aristide Cavaillé-Coll (1811-1899). Bien-sûr, beaucoup d’autres ont contribué au développement menant à l’orgue moderne, romantique puis symphonique.
Depuis la première révolution industrielle du 19ème siècle, les orgues à tuyaux ont gagné en taille et en puissance car l’emploi de nouvelles énergies (le charbon pour produire la vapeur nécessaire aux turbines, l’électricité pour alimenter les moteurs des ventilateurs) permet de disposer de plus de pression d’air pour alimenter un nombre de tuyaux exponentiel.
Par ailleurs, d’autres concepts basés sur le même principe d’addition d’éléments sonores ont donné le jour au Thelharmonium électromécanique de Thaddeus Cahil (USA 1867-1934). Viennent ensuite l’orgue à roues phoniques Hammond de Laurens Hammond (USA 1895-1973), puis en 1952 l’orgue classique électrostatique du Français Jean Adolphe Dereux (1911 -1979). En 1939, la manufacture ALLEN Organ Company (USA Pennsylvanie) voit le jour et applique une nouvelle technologie appelée PCM (Pulse Code Modulation) : avec l’échantillonnage sonore, on assiste à la naissance de l’orgue numérique.
Depuis, la modélisation acoustique a essayé de s’introduire dans le monde de l’orgue numérique. Toutefois, la rapidité de calcul des processeurs pour traiter l’immensité de paramètres ne suffit pas encore à reproduire les circonstances naturelles de création des diverses sonorités. L’échantillonnage numérique reste donc plébiscité par les principaux fabricants.
Bien entendu, même si les instruments numériques permettent de jouer le répertoire d’orgue en tout lieu, toute circonstance et toute formation musicale, ils ne peuvent dans l’absolu remplacer la présence physique, acoustique et artistique d’un orgue à tuyaux. Car ils sont hélas limités aux possibilités de reproduction de leur système d’amplification et le plus souvent à la polyphonie. Le développement de l’orgue numérique est donc toujours en devenir et l’échantillonnage reste la technologie la plus présente à ce jour.
– ci-dessus: schéma de la mécanique de l’hydraule par Vitruve –
On s’accorde aujourd’hui à en attribuer l’origine à Ctésibios, ingénieur et mathématicien vivant à Alexandrie (270 avant JC). Ses travaux sur l’élasticité de l’air lui ont inspiré l’idée de faire sonner des tuyaux : le vent, obtenu par dépression d’air en évacuant l’eau d’une cuve, permet de produire un son amplifié par un simple tuyau. Certes, le premier hydraule (hydre, l’eau et aulos, le tuyau) ne dispose que de 3 tuyaux donc 3 sons, mais l’ancêtre de l’orgue, est né.
Au fil des siècles, l’instrument ne cesse d’évoluer, épousant les progrès technologiques, en suscitant de nouveaux. Parmi les grands facteurs d’orgue qui ont marqué l’évolution de l’orgue, citons Dom Bedos de Celle (1709-1779) et Aristide Cavaillé-Coll (1811-1899). Bien-sûr, beaucoup d’autres ont contribué au développement menant à l’orgue moderne, romantique puis symphonique.
Depuis la première révolution industrielle du 19ème siècle, les orgues à tuyaux ont gagné en taille et en puissance car l’emploi de nouvelles énergies (le charbon pour produire la vapeur nécessaire aux turbines, l’électricité pour alimenter les moteurs des ventilateurs) permet de disposer de plus de pression d’air pour alimenter un nombre de tuyaux exponentiel.
Par ailleurs, d’autres concepts basés sur le même principe d’addition d’éléments sonores ont donné le jour au Thelharmonium électromécanique de Thaddeus Cahil (USA 1867-1934). Viennent ensuite l’orgue à roues phoniques Hammond de Laurens Hammond (USA 1895-1973), puis en 1952 l’orgue classique électrostatique du Français Jean Adolphe Dereux (1911 -1979). En 1939, la manufacture ALLEN Organ Company (USA Pennsylvanie) voit le jour et applique une nouvelle technologie appelée PCM (Pulse Code Modulation) : avec l’échantillonnage sonore, on assiste à la naissance de l’orgue numérique.
Depuis, la modélisation acoustique a essayé de s’introduire dans le monde de l’orgue numérique. Toutefois, la rapidité de calcul des processeurs pour traiter l’immensité de paramètres ne suffit pas encore à reproduire les circonstances naturelles de création des diverses sonorités. L’échantillonnage numérique reste donc plébiscité par les principaux fabricants.
Bien entendu, même si les instruments numériques permettent de jouer le répertoire d’orgue en tout lieu, toute circonstance et toute formation musicale, ils ne peuvent dans l’absolu remplacer la présence physique, acoustique et artistique d’un orgue à tuyaux. Car ils sont hélas limités aux possibilités de reproduction de leur système d’amplification et le plus souvent à la polyphonie. Le développement de l’orgue numérique est donc toujours en devenir et l’échantillonnage reste la technologie la plus présente à ce jour.
– ci-dessus: schéma de la mécanique de l’hydraule par Vitruve –
On s’accorde aujourd’hui à en attribuer l’origine à Ctésibios, ingénieur et mathématicien vivant à Alexandrie (270 avant JC). Ses travaux sur l’élasticité de l’air lui ont inspiré l’idée de faire sonner des tuyaux : le vent, obtenu par dépression d’air en évacuant l’eau d’une cuve, permet de produire un son amplifié par un simple tuyau. Certes, le premier hydraule (hydre, l’eau et aulos, le tuyau) ne dispose que de 3 tuyaux donc 3 sons, mais l’ancêtre de l’orgue, est né.
Au fil des siècles, l’instrument ne cesse d’évoluer, épousant les progrès technologiques, en suscitant de nouveaux. Parmi les grands facteurs d’orgue qui ont marqué l’évolution de l’orgue, citons Dom Bedos de Celle (1709-1779) et Aristide Cavaillé-Coll (1811-1899). Bien-sûr, beaucoup d’autres ont contribué au développement menant à l’orgue moderne, romantique puis symphonique.
Depuis la première révolution industrielle du 19ème siècle, les orgues à tuyaux ont gagné en taille et en puissance car l’emploi de nouvelles énergies (le charbon pour produire la vapeur nécessaire aux turbines, l’électricité pour alimenter les moteurs des ventilateurs) permet de disposer de plus de pression d’air pour alimenter un nombre de tuyaux exponentiel.
Par ailleurs, d’autres concepts basés sur le même principe d’addition d’éléments sonores ont donné le jour au Thelharmonium électromécanique de Thaddeus Cahil (USA 1867-1934). Viennent ensuite l’orgue à roues phoniques Hammond de Laurens Hammond (USA 1895-1973), puis en 1952 l’orgue classique électrostatique du Français Jean Adolphe Dereux (1911 -1979). En 1939, la manufacture ALLEN Organ Company (USA Pennsylvanie) voit le jour et applique une nouvelle technologie appelée PCM (Pulse Code Modulation) : avec l’échantillonnage sonore, on assiste à la naissance de l’orgue numérique.
– ci-dessus: schéma de la mécanique de l’hydraule par Vitruve –
Depuis, la modélisation acoustique a essayé de s’introduire dans le monde de l’orgue numérique. Toutefois, la rapidité de calcul des processeurs pour traiter l’immensité de paramètres ne suffit pas encore à reproduire les circonstances naturelles de création des diverses sonorités. L’échantillonnage numérique reste donc plébiscité par les principaux fabricants.
Bien entendu, même si les instruments numériques permettent de jouer le répertoire d’orgue en tout lieu, toute circonstance et toute formation musicale, ils ne peuvent dans l’absolu remplacer la présence physique, acoustique et artistique d’un orgue à tuyaux. Car ils sont hélas limités aux possibilités de reproduction de leur système d’amplification et le plus souvent à la polyphonie. Le développement de l’orgue numérique est donc toujours en devenir et l’échantillonnage reste la technologie la plus présente à ce jour.
Grand orgue de la Cathédrale de Saint-Omer,
réhabilité en 1855 par Aristide Cavaillé-Coll, le plus important facteur d’orgue du XIXème siècle.
Composé de 3275 tuyaux, 4 claviers et un pédalier de 30 notes.
Grand orgue de la Cathédrale de Saint-Omer, réhabilité en 1855 par Aristide Cavaillé-Coll, le plus important facteur d’orgue du XIXème siècle. Composé de 3275 tuyaux, 4 claviers et un pédalier de 30 notes.
Grand orgue de la Cathédrale de Saint-Omer, réhabilité en 1855 par Aristide Cavaillé-Coll, le plus important facteur d’orgue du XIXème siècle. Composé de 3275 tuyaux, 4 claviers et un pédalier de 30 notes.
Nos valeurs
Chez Orgue Globale Solution, le plus important c’est vous. Que vous soyez un particulier ou une entreprise de renom, c’est l’amour de l’orgue qui nous lie à nos clients. Et pour en être à la hauteur, cet amour requiert des qualités précieuses. A l’extrême pointe de notre art, il y a la volonté d’évoluer grâce aux apports technologiques, électroniques et numériques, tandis qu’à l’autre extrémité nous avons à cœur d’honorer le souvenir d’un orgue ancestral.
Entre les deux, c’est un ensemble de valeurs qui nous anime pour vous guider dans le monde de l’orgue en perpétuelle effervescence.
Ecoute
Nous sommes attentifs à votre demande dans les moindres détails.
Loyauté
Conseil, achat, entretien ou réparation : nous nous engageons à vous apporter la solution musicale, technique et économique la plus adaptée à votre besoin.
Innovation
Notre proximité avec les services techniques des plus grands fabricants nous confère le plus haut niveau d’expertise pour concevoir des solutions originales.
Qualité
Nous apportons le plus grand soin à nos réalisations et garantissons la qualité et la fiabilité de nos instruments.
Ethique
Votre satisfaction à long terme est notre priorité.
Service client
Depuis des années, Orgue Globale Solution a développé son propre réseau d’organistes privés et institutionnels. Tous ces artistes sont devenus des clients fidèles avec lesquels nous entretenons une relation de confiance.